
Hegel, autrefois dans son Esthétique, il montra que la philosophie est une ultime évolution de l’art ; l’architecture prend son début, car cette dernière concrétise l’usage dans l’apparence physique symbolisant le sens humain. La métaphore s’absente à ce stade ; la matérialité de l’architecture semble trop rigide. La pierre ne se figurerait pas comme la parole.
L’architecture crée une relation qui nécessite la terre et le ciel ; la terre resterait non-dite insignifiante sans y inscrire l’architecture. L’architecture et la terre sont essentiellement indifférentes y habitant le sens humain. En effet, l’architecture serait une métaphore de la terre, une métaphore du signifié.
Dans la langue française qui est le descendant direct de la langue latine ou la postérité lointaine de l’ancienne langue italienne, la terre signifie à la fois la planète et le sol. C’est pourquoi il y a la Terre et la terre ; puisque les deux sont essentiellement indifférentes, c’est donc une différence morphologique volontairement créée, autrement dit une métaphore du signifiant.




